
Le ministre français des affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a affirmé jeudi à Bruxelles que la recherche de la paix en Ukraine ne saurait passer par une « capitulation » de Kiev. Il a souligné que, selon Paris, « c’est aujourd’hui la Russie de Vladimir Poutine qui constitue un obstacle à la paix ».
Pour lui, toute démarche visant à mettre fin au conflit doit impérativement commencer par un cessez-le-feu sur la ligne de contact, première étape indispensable pour permettre l’ouverture de discussions. Celles-ci devront porter à la fois sur la question territoriale et sur les garanties de sécurité, deux points jugés essentiels pour parvenir à un accord durable.
