
Une coalition politique de droite au Japon s’accorde pour propulser Sanae Takaichi à la tête du gouvernement, une première historique. Son programme économique repose sur un assouplissement monétaire et une relance budgétaire, ce qui a été salué par les marchés financiers. Toutefois, l’absence de majorité absolue pourrait limiter ses marges de manœuvre. Cette nomination symbolise aussi un tournant social dans un pays où la place des femmes en politique reste limitée.
