
Les autorités iraniennes ont annoncé la libération conditionnelle de leur ressortissante Mahdieh Esfandiari, arrêtée en février dernier en France pour apologie du terrorisme. Placée désormais sous contrôle judiciaire, elle n’est pas autorisée à quitter le territoire français jusqu’à la tenue de son procès au fond, prévu pour janvier 2026.
Téhéran a salué cette décision, la présentant comme un geste d’apaisement diplomatique, alors que les relations entre la France et l’Iran restent tendues sur plusieurs dossiers, notamment la détention de ressortissants européens et les questions liées aux droits humains.
